Un trajet des plus mouvementé
Les péripéties aériennes étant désormais finies il m’est plus facile de vous rapporter les aléas de notre transport.
Pour ce qui est d’Antoine, il n’y a apparemment pas eu d’accroc. Départ dimanche 22H45 de Frankfort et arrivée comme prévu lundi au soir Aerortuo del Alto.
Pour ma part la chose fut moins simple. Arrivé à Milan dimanche soir vers 18H je me dirige vers les bureaux d’Alitalia car j’apprend que la compagnie affrétant mon vol (Varig) à mit la clés sous la porte en Europe. On me redirige vers les Check –in où j’apprend que mon vol présente un gentillet nombre de sur réservation équivalent à une soixantaine de personne. Waouh la Biche.
Les 8 heures suivantes n’étaient pas de tout repos. Elles furent animées par de joyeuses disputes autour d’un même bureau : une hôtesses devant rattraper les erreurs du model de réservation de la compagnie face à 60 voyageurs enragés et « détendus détendus » après leur vacances…(sans commentaires). J’obtiens enfin mon bon de réservation d’hôtel et mon billet d’embarquement pour le même vol du lendemain après avoir manquer me faire égorger par des Brésiliens. Peut être qlqc à voir avec les résultats sportifs de la veille…. Journée des plus reposante au programme petites brasses dans le lac, buffet italien et farniente dans les jardins de la propriété ! Le reste du voyage se passe pas mal en dehors du fait que j’ai loupé mon avion à Santa Cruz. Et oui c’est ça de baisser sa garde se croyant déjà arrivé le tout aidé par des rencontres surprenante d’amis d’école en plein milieu de la Bolivie. Par chance ce fut sans conséquence, Aerosur ayant un autre vol pour La Paz 1 heure plus tard. Un petit tour en arrière boutique de l’hôtesse ainsi que 2-3 coup de stylo et le billet est bon pour le vol suivant. Une organisation peu informatisée a aussi du bon.
J’arrive donc enfin mardi à 23H40 heure local après un départ de Gre samedi 10H10 soit 93H30 de trajet (non non c’est juste, tu as oublié de prendre en compte le décalage horaire !). Je peux vous garantir que je ne tenais plus vraiment mes nerfs.