La pacienza todo lo alcanza
Je vous écris ce message ainsi que le précèdent de Santa Cruz de la Sierra, bien qu'on soit en plaine. C'est le point le plus bas de notre voyage, à quelques centaines de mètres d'altitude. On va y rester une petite semaine pour aller visiter les missions jésuites et le Parc Amboró, de végétation tropicale. On a voyagé en bus de nuit par le Chaparé, région productrice de Coca et d'autre chose, donc très contrôlée par la police.
Ca m'a fait du bien de revoir un horizon horizontal. Il y a toutes sortes d'arbres que je ne connaîs pas, mais qui sont semblables par leur forme à des chênes, des frênes ou des hêtres familiers. Et comme il y des vaches qui en broutant les taillent horizontalement par en dessous, ca ressemble parfois au Macônnais ou à la Saxe, quand on ne voit pas un palmier, car il y en a aussi beaucoup. Il fait très humide, mais beaucoup moins chaud qu'on pensait.
Voilà le blog un tant soit peu actualisé, malgré des connexions exigeant une patience de saint. Il nous reste à écrire sur nos hôtes exceptionneles de Cochabamba, et ce sera fait très bientôt.